Analysedu rêve d’Etienne, 42 ans: Rêver d’une course de voiture "Je suis dans une voiture rouge, genre bolide, mais je n’avance pas. Il y a beaucoup d’autres voitures et je ne dois pas me laisser dépasser par elles. Tout à coup, je vois mon collègue Bernard avec qui je suis en froid au bureau. Je le déteste. J’appuie sur l
Forum Droit du Travail Salarié Partager sur Vous avez une question ? Posez-la sur notre forum juridique Vol de mon téléphone sur mon lieu de travail Visiteur San75 Le 11-02-2019 à 1517 Bonjour, Secrétaire dans un cabinet dentaire, je me suis fait voler mon téléphone portable sur mon lieux de travail. Alors un client est venu demander des informations je me suis retourner pour prendre les brochures, il est petit et seulement quelyminutes après ça a je me suis rendu compte ilote qu’en mon téléphone n’etait Plus sur mon bureau. Nous ne disposons pas de casier vestiaire je garde ma sacoche à côté de mes piiedq au dessous du bureau. Comment sa se passe ? Car nous avons quand caméra de sécurité qui film aussi et normalement on voit très bien la chose se produire dessus. Suis je indemniser ? Rembourser dédommager ou autre. Merci beaucoup de vos futur réponses. Répondre au sujet Attention Les réponses apportées ci-dessous peuvent être juridiquement erronées. Nous vous invitons pour toute question pouvant avoir des répercutions à consulter un Avocat. Répondre Répondre Moderateur milou27 Le 12-02-2019 à 0747 + 1000 messages Bonjour, Il faut voir ça avec votre employeur mais il y a peu de chances pour qu'il accepte de vous rembourser si votre portable personnel était posé sur le bureau ...bien en évidence -il fallait le laisser dans un tiroir hors de la vue des patients . Répondre Signaler ce contenu A voir également Vous avez besoin d'un conseil d'avocat pour Conflits & Relations de Travail ? 3 avocats vous proposent, sous 48h, un RDV en cabinet Envoyer votre demande Retour en haut de la page Documents Actualités Forum Avocats Conventions Collectives
Oui il faut faire un constat pour les assurances. La partie adverse se sent couverte et l'agent de sécurité a fait son travail. Après essayez de
SalariésGérer un contrat de travail Des violences, insultes ou injures autorisent normalement l'employeur à licencier le salarié pour faute grave. Cela étant, certaines circonstances peuvent venir atténuer voire effacer sa faute. Licenciement pour violences les faits constituant une faute grave Les violences et menaces effectuées sur le lieu de travail constituent en principe des fautes graves menaces de mort proférées envers un collègue de travail, coup porté au visage d'un autre salarié... En cas de bagarre, les tribunaux semblent réserver la qualification de faute grave à celui qui est à l'origine de la bagarre. Le statut du salarié peut lui aussi être un critère de gravité. C'est le cas pour les cadres qui se doivent d'avoir un comportement exemplaire, plus que les autres salariés. Il en va de même des injures et insultes. Celles-ci constituent une faute grave lorsqu'elles sont violentes ou répétées ; adressées à un supérieur hiérarchique ou à d'autres salariés ; en présence d'autres personnes ou susceptibles d'avoir des conséquences importantes pour l'entreprise. A pu ainsi être licencié pour faute grave un salarié qui proférait des insultes racistes, un salarié proférant de façon répétée des injures et menaces graves à l'encontre des autres salariés, un responsable écrivant une lettre susceptible d'être divulguée, dans laquelle il injurie le chef d'entreprise en l'accusant de malhonnêteté, de mensonges et de graves erreurs de gestion... De leur côté, les propos dégradants à caractère sexuel constituent une faute grave, peu importe que le salarié n'ait aucun antécédent disciplinaire ou qu'il ait une certaine ancienneté. Licenciement pour violences les circonstances venant atténuer la faute La faute est simple La faute peut être qualifiée de simple lorsque le salarié a été provoqué. C'est le cas lorsque le comportement du salarié s'explique par une attitude grossière ou provocatrice de la part d'un autre salarié ou d'un supérieur. Mais une réaction très violente demeurera une faute grave, même s'il y a eu provocation. Par exemple, un salarié sort un couteau de sa poche et menace un collègue de s'en servir. Même s'il ne l'a pas fait et qu'il n'a aucun antécédent, cela pourra être considéré comme une faute grave. Le comportement d'un salarié qui s'est montré grossier ou injurieux peut aussi être atténué lorsque il règne un mauvais climat dans l'entreprise ou que les conditions de travail sont pénibles. C'est généralement le cas des caissières, du personnel d'accueil travaillant dans les grandes surfaces un salarié chargé du service accueil, qui avait plusieurs années d'ancienneté et n'avait jamais fait l'objet de reproches, a eu un comportement incorrect à l'égard d'un client, une caissière avait eu des propos grossiers à l'égard d'un client, en fin de journée et un jour de forte affluence ; le salarié se trouve dans une situation injuste. C'est le cas lorsque le salarié a fait l'objet d'une remarque injustifiée de la part d'un de ses supérieurs et qu'il est victime d'une animosité permanente et sans fondement de ce dernier. Il n'y a pas de faute Lorsque l'incident est mineur et qu'il est sans conséquence pour l'entreprise, le comportement du salarié ne constitue pas une faute et ne peut donner lieu à la rupture de son contrat de travail une brève altercation a eu lieu entre 2 salariés, amis de longue date, qui se sont aussitôt réconciliés ; le salarié concerné n'a pas eu l'initiative de la rixe, avait une grande ancienneté et n'avait fait l'objet d'aucun reproche Cass. soc., 13 juin 2001 ; le salarié, qui a une grande ancienneté et qui n'a jamais fait l'objet d'aucun reproche, a adressé des menaces à son supérieur hiérarchique, dans son bureau et en dehors des heures de travail Cass. soc., 19 avr. 2000 ; des injures proférées par un membre de sa famille en la présence passive du salarié ne constituent pas une faute de sa part. L'employeur peut-il engager sa responsabilité en cas d'altercation entre salariés ? Pour éviter que sa responsabilité ne soit engagée, l'employeur doit prouver non seulement qu'il est intervenu de manière adaptée pour faire cesser la situation, mais aussi et surtout, qu'il a effectivement pris toutes les mesures au titre de l'obligation générale de sécurité et des principes généraux de prévention. Aussi, à la suite de l'altercation, l'employeur doit immédiatement mettre en place une organisation et des moyens adaptés en appelant l'auteur de l'agression, si besoin en lui intimant de ne plus revenir dans l'entreprise et en invitant le salarié à déposer plainte Cass. soc. 22-9-2016 n° F-D. En revanche, organiser une réunion entre les intéressés le lendemain de l'incident, puis des réunions générales d'information s'avère insuffisant Cass. soc. 17-10-2018 n° 1Corinthiens 9 26 Moi donc, je cours, non pas comme à l'aventure; je frappe, non pas comme battant l'air. 27 Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d'être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres.
RH / Management Droit du travail La solution n'est pas nouvelle mais les DRH doivent bien avoir cela en tête. Lorsque des relations entre collègues s'enveniment au point d'en arriver à des actes de violence, c'est la responsabilité même de l'entreprise qui est en cause. L'employeur a en effet une obligation de sécurité de résultat qui ne souffre aucune incurie. Agression physique entraînant une ITT de 75 jours Dans l'affaire en cause, la relation tendue entre deux salariés finit en agression physique. Le salarié est envoyé aux urgences et est placé en arrêt de travail pendant 75 jours. Il prend acte de la rupture de son contrat de travail. Il estime que l'employeur n'est pas intervenu à temps pour faire cesser cette relation conflictuelle. Il demande que sa prise d'acte soit requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Une agression soudaine Mais la cour d'appel rejette sa demande. "Le salarié ne démontre pas que son employeur était informé de l'existence d'un conflit important entre lui-même et un autre salarié et qu'il l'a sciemment laissé travailler aux côtés de son collègue, le plaçant ainsi dans une situation de danger", estiment les juges du fond. Qui plus est, l'agression "a été soudaine et imprévisible, elle a surpris l'ensemble des salariés présents et le superviseur et ne pouvait être anticipée". Autant d'éléments qui conduisent la cour d'appel à requalifier la prise d'acte du salarié en démission. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement L'employeur ne pouvait pas ignorer la situation conflictuelle C'est à une toute autre analyse que se livre la Cour de cassation. L'employeur a une obligation de sécurité de résultat en matière de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs. Dès lors qu'un salarié est victime sur son lieu de travail de violences physiques ou morales, exercées par l'un ou l'autre de ses salariés, l'employeur est responsable, quand bien même il aurait pris des mesures pour faire cesser ces agissements. C'est une solution constante depuis 2010. Pour la première fois dans cette affaire de harcèlement moral, la Cour de cassation avait souligné que faire cesser les agissements ne suffisait pas. L'employeur doit agir dès le premier signe de tension afin que les relations conflictuelles ne dégénèrent pas. En vertu de son obligation de sécurité de résultat La Cour de cassation balaie donc les arguments relatifs à la méconnaissance supposée par l'employeur du conflit et au caractère imprévisible de l'agression. Ce n'est pas le sujet, estime la Haute juridiction. La seule chose qu'elle retient est qu'un salarié a été agressé physiquement sur son lieu de travail par l'un de ses collègues. Cela suffit à caractériser un manquement de l'employeur à son obligation de sécurité de résultat et à justifier la prise d'acte du salarié. Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
jerecherche un travail mise sous pli, je suis tombée sur des arnaques alors si vous pouvez me laisser des adresses, des sites de confiances, par mail svp. Répondre. Julien 31 juillet 2019 At 19 h 03 min . Je n’ai pas d’adresse proprement dite mais si vous trouvez une annonce faites une petite recherche sur Google pour vérifier qu’il ne s’agit pas d’une arnaque. Soyez
Lesoiseaux méritent d’être observés de plus près, car suivant leur vol, leur chant, on peut déterminer la réussite ou l’échec de nos désirs. « L’ornithomancie » est la méthode divinatoire par les oiseaux. Vol, cri, position par rapport à la personne qui observe le volatil, autant de signes à décrypter. Dame Nature nous Dece fait, un agent de sécurité ne peut pas vous fouiller, et ce même s’il dispose d’une preuve flagrante d’un vol ou d’une infraction. Ainsi, vous êtes tout à fait dans votre droit de refuser d’ouvrir votre sac devant un vigile, et ce même s’il vous l’ordonne. L’exception est faite des agents de sécurité qui travaillent dans les stades de foot, qui peuvent tout à ZoNQl. 70 105 316 257 68 45 263 117 22

je me suis fait frapper sur mon lieu de travail