Quidit collaborateur à comportement difficile ne sous-entend pas nécessairement que ce dernier est exécrable. Il s'agit plutÎt d'avoir conscience que son mode de fonctionnement nécessite une attention particuliÚre, voire un recadrage dans certains cas - pour le bon déroulement des projets et missions confiées ainsi qu'une ambiance propice au travail et à la réussite.
Radecki, Monique Ăditeur IXELLES ISBN papier 9782875150653 Parution 2010 Code produit 1250124 CatĂ©gorisation Livres / LittĂ©rature gĂ©nĂ©rale / Livre pratique / Psychologie populaire Formats disponibles Format QtĂ©. disp. Prix* Commander Livre papier En rupture de stock** Prix membre 8,06 $ Prix non-membre 8,95 $ x *Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus. **Ce produits est en rupture de stock mais sera expĂ©diĂ© dĂšs qu'ils sera disponible.Commentdire non Ă votre chef, dire non Ă vos collĂšgues, dire non Ă vos clients, dire non Ă vos proches et famille? C'est trĂšs difficile et pourtant essen
Est-ce que vous vous retrouvez souvent en train de dire oui alors que vous avez envie de dire non? Si vous ĂȘtes dans ce cas, alors, continuez Ă lire! Aujourdâhui, beaucoup parlent de lâimportance dâĂ©tablir des limites saines. Mais Ă quoi ressemblent de telles limites? Comment pouvons-nous respecter ces limites tout en nous rendant disponibles pour les personnes qui nous entourent? En tant que mĂšre au travail, il mâest difficile de discerner les limites Ă fixer. Mais je sais que savoir fixer des limites est essentiel pour mon bien-ĂȘtre physique, Ă©motionnel et spirituel, sans oublier le bien-ĂȘtre de tous ceux qui nous entourent! Je sais que quand je dis oui trop souvent, alors quâau fond de moi jâai envie de dire non, mon humeur en souffre. Ma frustration couve sous la surface, comme la lave dâun volcan actif. Et tĂŽt ou tard, ce volcan finit par cracher du feu. Nous oublions que parfois, aimer, câest savoir dire non Ă toute demande malsaine. Nous devons faire en sorte que notre volcan interne » nâentre pas en Ă©ruption de façon inappropriĂ©e et ne brĂ»le » pas les personnes de notre entourage. Ne cĂ©dez pas La raison principale pour laquelle nous trouvons le respect de nos limites difficile est que nous avons peur de la rĂ©action dâautrui. Nous voulons entretenir lâimage dâune personne aimable et serviable. Nous oublions que parfois, aimer, câest savoir dire non Ă toute demande malsaine. Non, je ne te donnerai pas plus dâargent pour que tu puisses acheter de lâalcool ou de la drogue. Non, je dĂ©cide de ne pas payer ton loyer ce mois-ci. Non, je ne vais pas rester lĂ pendant que tu cries et que tu hurles. » Non nâest pas un mauvais mot. Nous pouvons le dire avec amour. En effet, quand nous disons oui alors que nous voulons dire non, cela peut mener au ressentiment de la personne qui nous demande service. Une formule simple Jâai créé une formule simple qui me guide dans mes dĂ©cisions. PremiĂšrement, jâai appris Ă connaĂźtre mes propres limites et Ă vivre selon mes valeurs et prioritĂ©s. Dans mon cas, je trouve quâil mâest trĂšs utile dâavoir un guide qui me dit ce qui est bon et ce qui ne lâest pas, la Bible. La Bible parle beaucoup de lâamour et du don de soi. En fait, Dieu dit clairement que nous devons aimer notre prochain. Cependant,mĂȘme JĂ©sus a pris du temps pour se reposer et faire des retraites. Il sâĂ©loignait souvent de la foule pour aller prier ou pour passer du temps avec des amis. Son exemple nous apprend que nous avons tous besoin de temps Ă part avec Dieu ou avec des amis. Il ne faut pas nĂ©gliger ces aspects de la vie. Prenez du temps pour vous Pour bien servir les autres, il faut prendre soin de soi. Quâavons-nous besoin dâintĂ©grer Ă notre vie pour assurer notre bien-ĂȘtre physique, spirituel, Ă©motionnel et intellectuel? Que devez-vous faire pour prendre temporairement du recul et refaire le plein dâĂ©nergie? Plus nous sommes en forme, plus nous avons de lâĂ©nergie pour nous consacrer au service des autres. Attendez-vous Ă affronter des difficultĂ©s Si vous avez toujours dit oui aux demandes des gens, ils seront surpris si vous commencez Ă dire non. Si au travail, vous acceptiez toujours de faire des heures supplĂ©mentaires au dĂ©triment de votre famille et de votre santĂ©, vous verrez certainement des visages surpris lorsque vous fixerez une limite au temps que vous consacrez dĂ©sormais au travail. En apprenant de plus en plus Ă fixer des limites saines, nous profiterons de plus dâĂ©nergie, de temps et dâamour pour les autres. Si nous trouvons un tel processus difficile, nous pouvons demander lâaide dâamis ou faire appel Ă des professionnels de la santĂ© pour des conseils pratiques Ă cet Ă©gard. Pour moi, cependant, le plus important est de mâinspirer du modĂšle laissĂ© par JĂ©sus-Christ. Il a su dire non aux autres tout en disant continuellement oui Ă Dieu, et il peut nous enseigner Ă faire de mĂȘme. Auteur de cet article Carol Van Atta Source de la photo Haley PhelpsSavoirdire ânonâ, avec bienveillance, câest savoir poser ses limites. Câest sâaccorder de la valeur et sâĂ©couter. Câest prendre en considĂ©ration son interlocuteur. Câest se crĂ©er lâopportunitĂ© de dire un grand âouiâ Ă la prochaine occasion. Savoir dire ânonâ, câest choisir dâĂȘtre libre, dâavoir des Savoir poser le cadre est essentiel dans toutes relations pour Ă©viter les malentendus, les conflits et maintenir la sĂ©rĂ©nitĂ© du qui nous empĂȘche souvent de dire ânonâ ?La plupart du temps, le simple fait de rĂ©pondre âouiâ Ă une demande, dĂ©clenche toute une sĂ©rie dâĂ©motions positives joie, fiertĂ©, satisfaction, plaisir. Ă lâinverse, lorsque nous nous trouvons confrontĂ©s Ă devoir dire ânonâ, cela peut nous renvoyer Ă une Ă©motion de peur, de frustration, de colĂšre, de tristesse, voire de qui nous empĂȘche de dire ânonâ, ce sont les bĂ©nĂ©fices que nous avons Ă dire âouiâ, qui flattent notre Ă©go câest une personne souple, cool, pas autoritaire, comprĂ©hensive⊠Nous Ă©chappons ainsi aux stratagĂšmes dâĂ©vitement, lâair de rienNos comportements face au ânonâ sont souvent dictĂ©s par la peur. Chacun aura la sienne. Nous pouvons avoir peur de lâautoritĂ©, du conflit, de la perte dâun client, dâun contrat ou dâun ĂȘtre nous utilisons quelques stratagĂšmes en employant des termes comme âpeut-ĂȘtreâ, âpourquoi pasâ, âon verra bienâ âje ne sais pas encoreâ qui crĂ©ent lâambiguĂŻtĂ© dans notre posture et favorisent les relations dĂ©pourvues de vĂ©ritĂ©. Ces termes ont pour vocation de nous prĂ©server en apparence, de diminuer le sentiment de culpabilitĂ©, de frustration et Ă©vitent surtout de prendre position clairement, de nous engager est lâenjeu ou qui est âEn jeââ Ă dire ânonâ ?Ă vouloir Ă©viter le conflit, tout faire pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ© ⊠ou dit plus clairement tout mettre en place pour ĂȘtre aimĂ©, le risque est grand de sâoublier dans le dĂ©sir de lâautre. Ă ce jeu de dupe, nous ne savons plus exactement qui nous sommes, ce que nous voulons vraiment. Cela nous empĂȘche de trouver notre vraie place parmi les pourtant, le bĂ©nĂ©fice Ă savoir dire ânonâ avec bienveillance est grandSavoir dire ânonâ, avec bienveillance, câest savoir poser ses limites. Câest sâaccorder de la valeur et sâĂ©couter. Câest prendre en considĂ©ration son interlocuteur. Câest se crĂ©er lâopportunitĂ© de dire un grand âouiâ Ă la prochaine occasion. Savoir dire ânonâ, câest choisir dâĂȘtre libre, dâavoir des relations authentiques avec soi-mĂȘme et les autres. Câest respecter son dĂ©sir profond. Câest un acte de courage. Câest aussi savoir accepter de recevoir un ânonâ avec qui suis coach et qui travaille depuis quelque temps sur la question du âsavoir dire nonâ, jâai encore dans certaines situations du mal Ă dire ânonâ, Ă mes enfants par exemple, car lâaffect est en jeu. Sur le plan professionnel, jâaccepte certaines missions aux enjeux forts sachant que cela va chambouler mon organisation et mon rythme de travail. Mais la satisfaction personnelle et celle du client sont les moteurs de ce refus de dire ânonâ. Je reste toutefois vigilante Ă poser les limites claires qui me permettent de continuer dâĂȘtre respectĂ©e par mon client et de prĂ©server ma santĂ©. Je me pose alors la question âQuâest-ce que je veux vraiment ? AprĂšs quoi est-ce que je cours ? De quoi ai-je peur ? Suis-je OK avec ce que je fais ?âCela me fait Ă©cho Ă une jeune dirigeante que jâaccompagnais. Elle venait dâavoir une promotion. Elle rentrait au Comex. Elle prenait ses nouvelles fonctions et donc devait abandonner ses activitĂ©s prĂ©cĂ©dentes. Au lieu de cela, elle a continuĂ© de rĂ©pondre aux sollicitations de ses anciens collĂšgues tout en assumant ses nouvelles responsabilitĂ©s. ArrivĂ©e chez elle, elle continuait de travailler car sa journĂ©e nây suffisait pas. Elle a fait un burn-out. Elle nâa pas Ă©coutĂ© les signes de fatigue, nâa pas voulu ou nâa pas su dire ânonâ aux sollicitations. Je lâai accompagnĂ©e Ă sa reprise de travail. Nous avons travaillĂ© essentiellement sur la question du âsavoir dire nonââ et sur ce qui se jouait pour elle. Aujourdâhui, elle sait mieux poser ses limites et arrive davantage Ă dire ânonâ. Elle se pose rĂ©guliĂšrement la question âEst-ce OK pour moi de rĂ©pondre Ă cette demande ?â. Le prix Ă payer du refus de dire ânonâ fut trop vous ? Comment direz-vous ânonâ Ă votre prochain interlocuteur ? Quelles limites poserez-vous ?
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